Un fils de patron est marié une journee noir a Djibouti c’était un mariage l'un de fils du patron particulier a Djibouti: la musique est la danse traditionnelle faisait une ambiance. Mais il y avait une grande absente : la feuille verte de khat.
jeune marié et pionnier du mariage avait informé ses invités que le khat, n’était pas la bienvenue à son mariage. Et j pense que sans khat notre societe ne seront plus active ,J'ai vraiment hésité avant d'accepter l'absence de khat à mon mariage. (...)
Des membres de ma famille ont l'habitude de la mastiquer. Elle constitue (...) la principale attraction lors des (...) mariages. De nombreux invités ont menacé de boycotter mon mariage quand ils ont su qu'il n'y aurait pas de khat.
Le sujet a été un page sur Facebook (Djiblive) a etait critiqué , le fils du patron a reçu avec de 800 commentaire venues supporter l'initiative. Certains jeunes couples veulent aussi créer des mariages similaires et pour encourager la démarche des "hommes d'affaires" désirent assumer les frais de la cérémonie.
Ma Djibouti est un pays musulman et conservateur, le khat, est considéré comme un plaisir acceptable d’un point de vue religieux ou un plaisir difficille a combattre, cet sacre plante pas comme les autre chose se trouve partout a Djibouti ou il y a une assemblement d'homme, retrouvaille entre amis, reconciliations entre famille, fête, mariage et deuil.
les hommes Djiboutiens aiment, comme ils le disent si bien, "brouter" durant des heures. Ce sont les feuilles fraîches qui sont consommées. Mâchées longuement et mélangées à la salive, le consommateur forme une grosse boule qu'il garde dans la bouche pendant plusieurs heures. L'usage du khat est un rituel important pourtant, que de douleurs effacées grâce à l'euphorie tranquillisante du khat ! Il est le véritable amortisseur de la crise sociale !
Mais bien que l’habitude de mâcher cette plante soit généralement tolérée, c'est un véritable fléau pour ces effets dommageable sur la santé et les finances des individus.
Les khat est les femmes:
Dans les annees 80, les femmes qui broutaient cet plante, etaient des femmes agées. Mais la situation est changer ce dernier temps, on voit des femmes khateuse de tous les ages et de toutes les categories sociales.
Elles suivent les hommes et khatent plûtot en groupe,elles khatent durant des plusieurs heures avec de chicha. Certaine femme qui fait le toute possiblité de trouver sa dose. Certaine femme son marié et elle khate en cachette, elle est souvent acheter aux detriments de la nourriture famillial. Parfois le khateur et khateuse se rencontrent un foyer appeller (good),c'est lieu de rencontre et d'echange de tout
Alors je me demande ce qui a pu améner les femmes a s' interesses cet plante sacre. Le Khat est présent partout et dans tous les instants. C'est le problème essentiel de la vie djiboutienne et Les femmes semblent y prendre goût. Durant mon séjour, aucune mesure des autorités n'a révélé la lutte contre l'importation, le commerce ou la consommation de cette plante.
Commentaires
Enregistrer un commentaire